Spinnin’

Spinnin’ est le cinquième disque sous mon nom, le premier dans la formule piano/ basse / batterie. Pour cet enregistrement, j’ai fait appel à un batteur avec lequel j’ai beaucoup joué ces dernières années à NY – qui se produit régulièrement au sein du quartet de Joe Lovano – le jeune Otis Brown III, et au bassiste que tout le monde se dispute (Dianne Reeves, Joshua Redman, Charles Lloyd…) Reuben Rogers.

La séance s’est déroulée sur deux soirées, dans un petit studio de Soho à NY, fin novembre 2004. Comme lors de la réalisation de mon précédent disque Like a Tree in the City, c’est l’ingénieur Katsuhiko Naito qui a assuré les prises, le mixage et le mastering. Nous n’avons pas eu recours au montage numérique.

Le répertoire comprend six originaux ; cinq nouvelles compositions et une version de South Ferry qui figurait déjà sur l’album Versatile. Nous avons également enregistré une ballade rubato de Branford Marsalis, A Thousand Autumns, une autre ballade du père Elis Marsalis, When We First Met, une composition du grand Mark Turner, Barcelona et un hommage au chanteur Claude Nougaro, Toulouse.

Toutes les compositions sont de Laurent Coq et sont publiées par la Sacem à l’exception de Toulouse (C.Nougaro /C.Chevallier), A Thousand Autumns (Branford Marsalis), Barcelona (Mark Turner) et When We First Met (Elis Marsalis).
Enregistré les 23 et 24 novembre 2004 à The Studio, New York. Enregistrement, mixage et mastering : Katsuhiko Naito. Producteur délégué : Eric Debègue pour Cristal Records.
Produit par Laurent Coq

  • Laurent Coq piano
  • Reuben Rogers contrebasse
  • Otis Brown III batterie

Presse

Prix du Disque Français 2005 de l’Académie du Jazz

(…) il entre aujourd’hui la tête haute dans la cour des grands trios avec piano.
Thierry Quenum Piano Magazine, mai 05

Cette bonne vieille formule piano-contrebasse-batterie peut encore faire des miracles. La preuve.
Jérôme Plasseraud Jazz Magazine, mai 05

(…) ce qui se joue là, avec exigence et sensibilité, ne s’est pas fait entendre ailleurs. On y revient souvent.
Vincent Bessières Jazzman, Juin 2005

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