Dialogue est le huitième disque sous mon nom . Je me présente cette fois-ci dans la formation hautement exigeante du duo piano/guitare, avec sur la moitié du répertoire l’ajout d’une voix sur des textes écrits en créole.
C’est la rencontre avec le jeune guitariste Ralph Lavital qui était mon élève en classe de composition à l’Edim – et à travers lui la découverte du chanteur Nicolas Pelage – qui est à l’origine de cette nouvelle aventure musicale.
- Laurent Coq piano
- Ralph Lavital guitare
- Nicolas Pélage chant
Presse
Consistant essentiellement en duos entre le pianiste français et son élève en composition Ralph Lavital, le bien nommé Dialogue prospère entre une spontanéité libérée et une intimité facile. (…) Ces échanges décontractés et joviaux alternent avec aisance la légèreté et la profondeur. (…) Le discours personnel de cette association illustre une convergence d’idées qui récompensera ceux qui s’y risqueront.
Shaun Brady, Jazziz
Glisser ici le pianiste Laurent Coq salue la volonté des musiciens qui soignent encore, contre vents et marées, la composition, le mixage, et l’ordre des titres.
Francis Marmande, Le Monde. Sélection des meilleurs disques de l’année 2013
(…) Une genre de jazz enjoué et pourtant finement ouvragé qui ne s’affaisse pas, même dans ses passages les plus lents. Considérez cet album comme un morceau d’été.
John Garratt, Popmatters.com
La voix purement « instrumentale » vient renforcer la générosité mélodique qui s’affirme comme la qualité première de cet album (…) les compositions et arrangements tout en finesse de Laurent Coq nourrissent cet échange sans jamais le brider (…) Bref, un régal.
Vincent Cotro, Jazz Magasine (Choc)
Les duos piano-guitare ne courent pas les clubs de jazz. La combinaison de ces deux instruments rythmiciens peut pourtant faire merveille. Avec ce huitième album sous son nom, Laurent Coq augmente la formule du chant moelleux de Nicolas Pelage. À trois voix sur la moitié des morceaux, le dialogue prend des airs de plénitude.
Lorraine Soliman, Politis
Rigoureux, vigoureux, neuf.
Auguste Rizzo, Wukali
(…) une musique à la fois fluide et d’une grande fraîcheur. (…) Dans les liners note, Laurent Coq dédie cet album à ceux qui « regardent le ciel à travers la fenêtre de leur chambre d’hôpital et à ceux qui les accompagnent ». Il leur fait là un magnifique cadeau du ciel.
Jean-Marc Gélin, Les Dernières Nouvelles du Jazz